Verticales Opales
1999 Création au théâtre Les Halles, Sierre
PHOTOS ©Marc Salamin
Verticales Opales débute sur l’architecture d’une VILLE, New York. La danse y puise son vocabulaire gestuel, son énergie, les sensations qui s’en dégagent. La NATURE, s’impose, ensuite, avec tout ce qu’elle représente pour la chorégraphe: enfance, insouciance, espièglerie. La question de la place de l’individu dans “ce magma de reminiscence” est alors abordée. Quelle est la place du CORPS dans ces deux espaces si différents? Quelle est la place de l’intimité et de la féminité. Ce spectacle est également une rencontre entre trois langages : la danse, la poésie et la vidéo. Trois langages qui dansent, qui racontent, qui montrent, qui devinent ou se souviennent.
« J’ai vu une femme, une étrangère, une solitude, dans une ville tentaculaire. Je l’ai vue monter, nue, au sommet de l’immeuble, comme si elle avait été happée par le ciel. Au creux de ses côtes poussait un désir aveugle, un désir de lumière, de silence et de vent.»
extrait des textes de Sylvie Délèze
VIDEO
PRESSE
DISTRIBUTION
- chorégraphie: Christine D’Andrès
- poèmes: Sylvie Délèze
- vidéos: David D’Andrès
- interprétation: Christine D’Andrès, Sylvie Délèze
- création lumière: Yann Becker
- Montage vidéos: Marie-Noële Guex
- costumes: Lulu Croquelois
- avec le soutien du théâtre Les Halles, de la Loterie Romande, du Migros Pour-cent culturel, de l'Etat du Valais, de la Ville de Sierre